II Gi Dojang Genève

Le Taekwondo est un art martial d’origine Sud-Coréenne qui se pratique sans armes. Il se distingue des autres arts martiaux par les hautes techniques de coups de pieds. Le Taekwondo comprend 5 pratiques: Kirougui (combat) Poomsae (formes) Hunbon (combat codifié) Hunshinsul (self-defense) et Kyokpa (la casse). Ces pratiques sont travaillées au club d’IlGi Dojang Genève.

Essais Gratuits

Nouveau au club? N’hésitez pas à venir essayer gratuitement pendant une semaine avant de vous inscrire, que vous soyez confirmé ou débutant. Le taekwondo est un artmartial pour tous et un sport Olympique qui boostera votre santé et votre confiance. Il vous suffit de venir en tenue de sport et de vous présenter à l’entraîneur.

Essais Gratuits

Nouveau au club? N’hésitez pas à venir essayer gratuitement pendant une semaine avant de vous inscrire, que vous soyez confirmé ou débutant. Le taekwondo est un artmartial pour tous et un sport Olympique qui boostera votre santé et votre confiance. Il vous suffit de venir en tenue de sport et de vous présenter à l’entraîneur.

Kiriougui

Pour les néophytes, le Taekwondo c’est d’abord et avant tout les pieds ! Ceci est certainement dû au fait que seules les compétitions de combats (Kyorugi) sont retransmises à la télévision. En effet, lors d’un combat, les frappes s’exécutent essentiellement avec les pieds. De plus, les techniques de jambes les plus utilisées sont loin d’être représentatives de la richesse et de la diversité des techniques de coups de pieds qu’offre le Taekwondo. Par ailleurs, comme chaque pays a tendance à montrer ses propres compétiteurs, le téléspectateur n’a en règle générale pas accès à la diffusion des combats ni les plus intéressants, ni les plus spectaculaires.

On l’aura compris, le Taekwondo ne se limite pas qu’aux pieds ! En effet, et cela transparaît sans doute moins à l’image, le taekwondoïste bloque les coups de pied de son adversaire avec les bras pour se protéger et empêcher ce dernier de marquer des points. Lors d’un combat, les techniques de bras servent avant tout à bloquer l’attaque, plutôt qu’à attaquer. L’apprentissage des blocages s’effectue traditionnellement par un travail de répétitions, afin que les mouvements deviennent suffisamment efficaces et précis face à un coup de pied et sortent de manière réflexe. Bien que le taekwondoïste ne frappe que peu ou pas avec les bras lors d’un combat, le travail de percussion et frappes s’effectuent dans les parties selfdéfense Han-Bon ou Hoshinsul, les combats imaginaires Poomsae ou les casses Kiokpa du Taekwondo.

Le Kyorugi est donc une forme de combat libre, réglementé par un certains nombres de règles. Comme les coups peuvent être portés à pleine puissance, les compétiteurs doivent être très protégés (protèges avant-bras, tibias, plastron, casque, coquille et protège-dents). Les coups de poings au visage, les coups en dessous de la ceinture et les balayages sont interdits.